La suppléante

Ça pourrait être le titre du livre du #princeharry en version féminine mais non, c'est juste moi quand je fais des remplacements de prof entre 2 projets artistiques. La vie d'un artiste est faite de haut et de bas et j'ai fait le choix de ne pas publier un roman par an avec une régularité taillée au millimètre. J'ai fait le choix de partir sur des projets divers et variés hors de ma zone de confort. La vie ne me donnant pas toujours le temps de publier de longs projets. De faire passer des messages dans mes textes, de travailler avec d'autres artistes. De dérouter beaucoup. De créer une émotion, pas toujours facile, mais d'en créer une. Lorsque j'ai publié mon 3ème roman, Les anges imparfaits, je savais que ça ne serait pas simple parce qu'il s'était écoulé 8 ans entre mes 2 romans. J'avais entre temps trouvé des lecteurs pour mes textes poétiques ou mon récit de voyage, mais finalement perdu mes lecteurs de roman. Et je ne suis pas à matraquer sur les réseaux ni à implorer les gens de mettre des commentaires sur Amazon. C'est un choix aussi ou l'art de se compliquer la vie peut-être. Malgré tout, j'ai de bons retours de ce roman. Il y a par exemple quelques jours, il a été cité pour la journée mondiale la sororité. La nouvelle dont il s'inspire avait été sélectionnée par ma région dans le cadre d'un projet avec la #comediedulivre. Quant à mes Contes poétiques, ils sont travaillé depuis 3 ans en lycée. Alors je ne suis pas sur les programmes nationaux, je ne fais pas la une de @telerama moi : ne pas rentrer dans des cases. Ici, vous ne verrez que très peu de photos de ma vie privée par exemple. Mais je vous parlerai avec plaisir du trac autour de ce projet où je serai sans doute moi sur scène et je ne suis pas prêteeeeee ! 😉

Et tant que mon message passe, c'est peut-être ça l'essentiel continuer de monter les marches.